A propos
Que dire à propos d’Alain Zitouni ? En examinant son travail , on peut remarquer une utilisation créative de la lumière et de l’espace qui ajoute une profondeur et une dimension à ses peintures, créant des compositions dynamiques et évocatrices
Dans certaines œuvres, il utilise des couleurs vibrantes et contrastées pour créer un effet de profondeur et de mouvement tandis que dans d’autres, il utilise des couleurs plus subtiles, fondues et des tons pastels pour créer une ambiance plus calme et apaisante. Dans l’ensemble, ses peintures ont une qualité gestuelle qui évoque la spontanéité et l’énergie brute.
Lorsqu’il peint, il essai d’atteindre un état intérieur propice à l’émergence d’une créativité non-intellectualisée ; il poursuit son cheminement spirituel à travers la peinture. Il veut sortir des limites du mental et peindre « l’essence des choses ». Ses œuvres ont toujours une référence aux forces de la nature, à l’invisible, à ce qui sous-tend et permet la vie.
Alain est un artiste expérimental et intuitif, il explore une variété de médiums et de techniques pour exprimer sa vision artistique. Il aime la couleur et la texture et recherche constamment des moyens de créer des effets visuels fascinants.
Biographie
Alain Zitouni, artiste peintre autodidacte, conjugue l’abstraction lyrique au paysage chimérique.
Né le 27 septembre 1963 à Castres dans le sud de la France, il incarne la somme de ses expériences depuis une enfance complexe. Elles l’ont contraint à s’autonomiser très jeune. Les épreuves de la vie le poussent à se questionner sur le but de l’existence et ses énigmes, Dieu, la Mort, le Bien, le Mal, tous les univers du mystère. Une quête spirituelle achève de forger sa personnalité.
Son parcours :
Il n’aura de cesse de chercher à nourrir son âme auprès des maitres (astrologie, bouddhisme zen, méditation…) en faisant participer son corps à travers des années de pratique du Taï Chi.
L’artiste prolongera sa quête en s’exprimant également dans la musique : guitare, écriture, chant…
Ses débuts :
Depuis quelques années, en complicité avec sa compagne, « muse inspirante », il franchit le cap et s’autorise à laisser libre cours à son inspiration, « sa peinture est née ».
L’angoisse du bord de l’abîme que représente la toile blanche le questionne et le travail intérieur s’extériorise. Le vide de son esprit s’impose à la toile et son monde s’épanche en mille nuances colorées. C’est l’interface contrastée matière/esprit qui se révèle.
Son style invite au voyage, il emporte l’observateur tout au bord de la toile. Le cheminement est abouti quand la personne interpellée vit l’émotion en projetant dans les formes et les couleurs sa propre vision d’évasion. L’image se construit, se nomme.
« Il y a autant d’univers que d’observateurs ».
Beaucoup d’humilité sincère de la part du peintre qui choisira l’échange en laissant l’amateur d’art s’approprier l’espace et compléter ainsi son geste.
